[Berserald/Falcor/Bonke/Kramox]

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PSSSStttt...
Nouvelle phase RP possible, celle-ci se déroule désormais sur Harmonie, dans la gargote où vous vous établîtes le dernier scénario. Cette gargote fut intelligemment baptisée le "Blizzard noir".

Note : Vous pouvez tout à fait vous mouvoir dans la ville de Port-Eden, pas de soucis, il faut juste le signaler.
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Dans cette chaleureuse gargote intelligemment appelée "le blizzard noir", donc...
Bonke poussant la porte de la chambre :
-Yeah c'était trop d'la balle ce concert!!! HAHAHA !!! Cynique et sans complexe lalala lala lala...

un tiroir de la commode s'ouvre et la moitié de la tête de Berserald en emmerge, jetant des coups d'oeil à droite et à gauche avant de déclarer sur un ton mystérieux :
"C'était bien plus inquiétant que lorsque nous... enfin vous vous êtes fait poursuivre par ces tarés crâmeurs... J'le sens pas... J'le sens pas..."

Bonke Kuklo a écrit:
-Yeah c'était trop d'la balle ce concert!!! HAHAHA !!! Cynique et sans complexe lalala lala lala...

- Oui Bonke c'est vrai, le survol de la foule en délire à la fin de ta chanson m'a fait oublié pendant un instant mes ailes encore douloureuses... Et puis j'ai pû discuter en tête à bec avec ce représentant de Frontière pour les Droits Xénomorphes, ce fut très instructif. En plus ici nous serons moins visibles qu'à la Cité Sainte.

*s'extirpant du tiroir*
Oui, c'est vrai. Surtout vous, en fait. Et moi aussi, quand j'y pense...
Enfin, faudrait voir à pas trop tomber dans l'extrémisme... histoire de vous éviter une prise de position trop radicale.

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L'Auberge "Le Blizzard Noir"
La pièce principale est longue de 12m pour à peine 5m de large et au bout se trouve la porte, ouverte sur la rue boueuse. Le patron est aux fourneaux derrière le comptoir métallique où sont accoudés 3 hommes en train de vider un godet. Vous passez entre les tables et le comptoir (à peine 1 m pour passer, Kramox a bien rigolé la veille), dans un coin de la pièce 2 ukars jouent aux dés tandis que la serveuse frappe la main d'un ivrogne un peu trop tenté par le généreux bas du dos de cette dernière.
Elle passe derrière le comptoir, sort des "trucs"d'un bain d'huile brune bouillante tandis que le chef tente de retourné des copeaux de "viande"sur une plaque de cuisson fortement graisseuse.

-Le Patron : Orlando, un homme de la quarantaine passée, 1m80 pour 120 kgs, chauve, yeux noirs, généreux dans les portions mais pas très éveillé, hausse le ton s'il faut calmer les troubles-fête mais avec un certain temps de réaction (ne pas trop titiller à ce qu'il paraît ça deviendrait dangereux).
-La Patronne et unique serveuse : Dasha, à peine la quarantaine, 1m75 pour 60 kgs, cheveux bruns, yeux verts, tonique, elle est possède l'adrénaline de 2 personnes et blâme souvent les réactions de son mari. Tout le monde se demande ce qu'ils font ensemble, la plupart pense que Dasha vole son mari jusqu'à lui voler son énergie. Une sorcière à ce qu'on dit.

Les chambres disponibles :
-1 chambre privée // 1 personne (1e étage) 1fenix/nuit/personne
-2 chambres communes // 4 personnes par chambre (1é étage) 1 crête/nuit/personne
-1 salle commune // Dortoir de 20 personnes sur paillasse(2e étage) 1 aile/nuit/personne

Petits déjeuners compris pour une aile de plus par nuit.

Repas >> Pas vraiment le choix, c'est au jour le jour, faut voir avec le patron quoi...
En moyenne : 3 ailes
Quantités(influences sur le prix)
-Peu (le prix, faites pas chier merde...)
-Normal (le prix, et franchement on ne se fout pas de votre gueule !)
-Beaucoup (+25% sur le prix)
-Gargantuesque (+75% sur le prix, mais z'avez intérêt à tout finir sinon...)

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Après s'être approcher du comptoir, et que la patronne se soit adressée à lui, Bonke lui répond:
- Heu ouais, j'voudrais bien un repas siouplait m'dame. Un p'tit déj pas mal copieux c'est possible?

La femme rigole. "Un p'tit dej' ? A c't'heure de la journée ? Heho, c'est midi et demi, c'est l'heure du r'pas d'midi !"
Tu peux noter son vocabulaire varié ainsi que le sourire en coin du patron qui secoue la tête et marmonne pour lui-même tout en cuisant la viande sur les plaques.
"-Tss...ceux-là alors, tout permis qu'y s'croient..."

- Oula oui, excusez moi j'avais pas vus!!! Bon ben j'vous prend un repas, en quantité gargantuesque, vus que j'ai pas pris de p'tit dèj. C'est quoi d'ailleurs le repas aujourd'hui?

"Aujourd'hui c'est du chien grillé* avec sauce maison et beignets aux herbes. Ca lui f'ra 5 ailes."
Tu vois la viande cuite sur plaque et les beignets cuits dans un bac d'huile bouillante suppurant tous deux d'une graisse immonde, le repas promet d'être roboratif à souhait, faut-il encore y survivre.

*(on mange de tout dans Fading Suns >> melting pot tout ça tout ça...)

- Et ben ça m'a l'air parfait tout ça, j'en salive d'avance...
Bonke attend quelques minutes au comptoir que son plat arrive, puis se souvenant qu'il peut être servit à table, va s'assoir à une table pas trop loin. Dès que la patronne arrive avec le plat, il lui demande:
- Dites-moi, par hasard, vous ne sauriez pas ou j'peut trouver un franc-marchand dans le quartier?

J'étais levé aux aurores, comme à mon habitude. Risquant un coup d'œil, je remarquais que les couloirs crados de cette vieille auberge pour voyageur fauché tel que moi résonnaient du même vide que celui de mon portefeuille. J'allais jusqu'au frigo et lui extirpais une de ces horribles bières qu'on sert dans la région, et alla m'installer dans le fauteuil, les pieds sur le bureau, en réfléchissant malgré la migraine, qui cette pauvre femme avait bien pu faire chanter pour se retrouver la tête coulée dans du béton. Je m'offris une clope. Bien sûr, ces damnés flics avaient conclus à un accident. Je n'y croyais pas. Je décidai donc de passer une heure à mes exercices d'assouplissement, puis après être allé chercher un repas sain... enfin, le moins malsain possible, je nettoyais et rangeais mon matériel minutieusement jusqu'à entendre Bonke sortir. Je le suivai tranquillement jusqu'en bas, sourit lorsqu'il demanda son petit dej', puis commandai un plat si possible pas trop brillant et alla m'installer avec lui à sa table, plongé dans mes réflexions.

Berserald a écrit:J'étais levé aux aurores, comme à mon habitude. Risquant un coup d'œil, je remarquais que les couloirs crados de cette vieille auberge pour voyageur fauché tel que moi résonnaient du même vide que celui de mon portefeuille. Je décidai donc de passer une heure à mes exercices d'assouplissement, puis après être allé chercher un repas sain... enfin, le moins malsain possible

Tes vieilles habitudes t'ont fait lever tôt. Toutefois les exercices furent difficiles, tu ressentais une légère fatigue et les jours passés sur le bateau ont su légèrement amenuiser les crampes et autres courbatures à la Cité Sainte, ce qui t'évita de rester au lit.
Te voilà loin, te voilà serein ou toutefois moins oppressé, loin de tous ces fanatiques du lance-flamme...

Dans la rue un vendeur de poissons et autres céphalopodes frais de la dernière criée de ce matin peut te faire griller un pelon, une sorte de calmar sphérique, farci de milliriz baigné dans un peu de vin blanc cuit (1 crête la part), ou encore de l'abrelot frit, un poisson longiligne percé sur une brochette (1 aile la brochette). C'est un marchand itinérant, sa carriole est tirée par une brute et déployée elle se transforme en véritable petit restaurant, animé d'une radio.
Les rues se remplissent petit à petit, des membres de la Guilde des Vidangeurs nettoient les rues, fait rare très apprécié de l'ensemble des habitants. Les rues sont boueuses (et au bord des maisons bien plus), des chariots de brutes passent, on se bouscule parfois pour laisser rouler un aérocycle (glisseur) ou encore un contingent de la Police Cameton en patrouille. Le soleil se lève mais sera vite couvert, une légère bruine arrive et les gens se couvrent de leurs vieux manteaux et autres écharpes de laine et vieux synthétiques.

P.S : Bourse vide... ...comment payer la nourriture ?

Bonke a écrit:Bonke attend quelques minutes au comptoir que son plat arrive, puis se souvenant qu'il peut être servit à table, va s'assoir à une table pas trop loin. Dès que la patronne arrive avec le plat, il lui demande:
- Dites-moi, par hasard, vous ne sauriez pas ou j'peut trouver un franc-marchand dans le quartier?

"Un franc-marchand ? Mm...t'endez...oui y a bien le gars là...comment s't'y qu'son nom d'jà...un vieux là, un Outremondien là..."La patronne fait une gestuelle dans ta direction comme pour te demander ton aide, chose que tu ne peux faire vu que tu lui poses ta question. Puis elle lève les yeux au ciel en râlant et se tourne vers son mari.
"-Chéri, c'est quoi d'jà l'nom du vieux là, l'franc-marchand qui tient son vieux truc là...T'sais le gars avec la moustache blanche là...He ! NOM MAIS HO TU M'ÉCOUTES GROS LARD QUAND J'TE CAUSE !!!!"
Le gros tenancier se tourne vers sa femme.
"-Hein de quoi ?
-Je disais, le Gannock cherche un franc-marchand, et j'trouve plus l'nom du vieux là, comment qu'il s'appelle.
-Ha ouais, le vieux là...euh...attend voir...Niz...Non, attends...ouais c'est ça...euh ouai ! MAZ qu'il s'appelle le vieux, MAZ !"
Elle se retourne vers toi, un air satisfait.
"Ouai, l'vieux MAZ, ct'un outremondien à la base, viens d'aut'part, mais loin en plus hein...genre Ligueheim j'crois bein, un nom comme ça...m'enfin le monde de la Ligue quoi ! Vous l'trouverez en remontant la rue, vous tournez à droite, passez la grande place du marché, il est juste à côté d'un bar...euh comment qu's'appelle c'bar d'jà...le...rrrhhhôôô ça m'énèrve ! CHÉRI !! C't'y quoi d"jà..."

***
...formes floues... bruits lointains...
Puis, des applaudissements clairs et soutenus.
Une véritable ovation faisait écho de toute part lorsque Falcor finit son discours enflammé à la tribune qui instituait en ce jour l'Organisation des Xénomorphes Unis. Après des années de luttes diplomatiques, son combat avec d'autres frères xénomorphes idéalistes avait porté ses fruits, enfin une faction représentant fièrement les Droits et la Liberté des non humains voyait le jour. La sérénité dans l'accomplissement de cet acte fondateur se combinait à la ferveur de l'assemblée...

Soudain, les portes fermées de la Grande Salle de l'O.X.U. volèrent en éclat !
Des bouches béantes créées par les explosions se déversait un flot de soldats humains, tirant sans sommations sur les ambassadeurs xénomorphes qui se rebellaient et commençant à entraver les autres avec d'énormes chaînes de Recruteurs.
- Non ! Cria Falcor. Non ! Je ne vous laisserais plus tout détruire ! Plus jamais ! Plutôt mourir ! Plutôt tous vous tuez ! Noooon !
***

Falcor se réveilla en sursaut, les plumes de sa tête étaient poisseuses de sueur.
Juste un cauchemar. se dit-il à lui même. Un rêve suivi d'un atroce cauchemar, rien de plus.
Dans leur chambre commune il distingua les ronflements -pour une fois plus rassurants que dérangeants- de Bonke et Kramox. Se levant pour aller s'asperger le visage à la cuvette d'eau il remarqua que Berserald était déjà sorti, au vu du soleil dehors il devait être encore tôt dans la mâtinée.
Voulant se changer les idées, il quitta discrètement la chambre pour ne pas réveiller les deux ronfleurs.

Dans la rue, Falcor essaye de discuter avec les différents xénomorphes, essayant d'écouter ces derniers sans trop en dire lui même.

Puis, croisant Berserald et voyant ce dernier la main dans sa bourse pour se payer à manger, Falcor lui dit jovialement : "Non l'ami c'est bon, laissez votre argent, pour cette fois c'est moi qui régale !" tout en posant un phénix sur le comptoir du marchand ambulant (ce qui devrait suffire pour les deux).

Stupéfait, je laissais donc ma main ressortir pleine de vide et saluait Falcor.
"Je vous souhaite le bonjour, comte, et je vous remercie pour votre geste. Néanmoins, je rechigne à vivre sur les deniers des autres. Surtout depuis je..." Je jettais un oeil autour de moi. "... que je suis libre. Hum. En clair, je vous revaudrai ça."
Je comptais bien ne plus tarder pour achever ce premier repas, afin d'aller m'entraîner à utiliser mes nouveaux jouets. Il allait me falloir un coin tranquille pour sortir mes bracelets, et un plafond à abîmer.


(EDIT : Le Blizzard ? Alex... je peux rester dans cette auberge ? Je veux pas partir ! *Cherche les elfettes* Tu l'as fait expres non ?)

Comte Falcor a écrit:
Dans la rue, Falcor essaye de discuter avec les différents xénomorphes, essayant d'écouter ces derniers sans trop en dire lui même.

Au MJ : Est-ce qu'il y a des rumeurs qui reviennent souvent parmis la population xénomorphes, notamment au sujet des Cameton ? Je ne pose pas trop de questions pour ne pas attirer les soupçons et je les laisse parler le plus possible en ne répondant à leurs questions que par des généralités.

Au MJ : Est-ce qu'il y a des rumeurs qui reviennent souvent parmis la population xénomorphes, notamment au sujet des Cameton ? Je ne pose pas trop de questions pour ne pas attirer les soupçons et je les laisse parler le plus possible en ne répondant à leurs questions que par des généralités.

Oui tu peux entendre deux ou trois rumeurs au sujet des Cameton dans quelques discussions teintées d'ignorance quand à un approfondissement politique, économique et social (hé, tu discutes avec de la basse-caste !)
>C'est une famille très puissante sur cette planète (d'ailleurs ils n'ont pas de terres d'Outremonde), elle est la famille gouvernante, mais l'Empereur garde un œil sur la gestion de la planète, des intendants impériaux viennent souvent voir les nobles Cameton.
>De ce qu'on sait, les Cameton n'ont pas de puissance militaire à proprement parlé...Par contre il possède un immense réseau de police ainsi qu'une puissante marine. La protection militaire, spatiale notamment est Impériale. Mais comme les Cameton bénéficient de nombreuses ressources, les Policiers sont très bien équipés.
>En parlant Fenix, la maison Cameton écrase les gens de lourdes taxes, les marchands sont contrôlés, etc...
>Depuis un soulèvement Ukar, la Loi Martiale est entrée en vigueur, la Police a les pleins pouvoirs.
>La Police Cameton est corrompue, les Fouinards s'autorisent tout et n'importe quoi sur ce continent, on ne leur dit rien...
>C'est sur ce continent que se trouvent la majorité de leurs terres, avec les terres impériales et Décados.
>L'Autorité et les Cameton s'entendent bien...

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La scène peut reprendre alors que vous venez d'atteindre la fameuse grotte, lieu du concert lors de votre arrivée. Il doit être 14h15 lorsque tout le monde se retrouve.

Il pleut à grosses gouttes, l'eau s'introduit dans la pièce par le trou au plafond qui laisse un mince filet de lumière entrer dans cette grande salle plongée dans le noir. Les clapotis font écho dans les flaques, et vous pataugez dans de la gadoue poisseuse, collante...La salle n'a plus cette animation comme le soir du 13 septembre, rien n''éclaire, rien ne donne vie, vous voilà dans un lieu abandonné. Vous vous sentez seuls et petits dans cette immensité obscure.

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Kramox se regarde de haut en bas ... dépité...
-Dire que je m'étais pris un bon bain... Ce fût une sacrée course, je crois bien que nous sommes dans une, excusez-moi l'expression, "merde" pas possible mes amis. Tout le monde est là?

Yep, présent et en pleine forme... Enfin physiquement hein. Parce-que, sinon, j'trouve qu'on est pas mal dans la merde, ça fout les boules...

Depuis le faux assassinat de l'Empereur nous sommes traqués de toutes façons, seuls nos actes prouveront notre vrai valeur et permettra de mettre à jour le complot qui veut nous détruire. Mais chaque indice nous rélève à chaque fois un complot encore plus large. Les Variants d'abord puis les Cameton et ensuite les Fouinards... Quelle piste suivre à présent ?

Les troglodytes, qui soit-disant habiteraient ces souterrains, pourront-ils être des alliés ou des ennemis suplémentaires ? Dans ce dernier cas nous pourront toujours leur apprendre à voler remarquez, pas vrai mon cher Kramox ? Sans parler de notre dangereux criminel recherché qu'est Bonke...

Héhé j'ai un record à battre. Pour ce qui est des pistes à suivre cela devient très complexe il est vrai...